Ce dimanche 23 février, Julien Lheuillier se produisait à la Chapelle de la Trinité dans le cadre du festival Synth Chapelle.

Il présentait une création basée sur des reprises baroques au synthétiseur. Ce qui n’est pas étonnant dans un festival qui voulait, entre autres, donner un coup de zoom sur Wendy Carlos. Lui, jouait plutôt du Bach et du Scarlatti. On était plongé dans l’atmosphère de la fin des années 60 et le début des années 70, lorsque la musique électronique commençait à quitter le seul milieu expérimental, mais n’avait pas encore gagné le grand public via la culture clubbing, avec des réminiscences de la tendance Kosmische Muzik du krautrock allemand.

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