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Pour ce samedi 9 juillet, on pourrait dire que c’était la soirée planante à Jazz à Vienne. Et aussi dans une certaine mesure, presque bizarrement, une soirée néo 70’s.
En effet, même si Portico Quartet est un groupe londonien tout ce qu’il y a plus actuel, on sent chez lui des influences très nettes de l’ambient et du krautrock, nés dans les 70’s… On peut aussi penser à l’Ecole de Canterburry, de la même époque. Mais aussi, et là, c’est plus récent, au post-rock de Chicago, celui du label Thrill Jockey par exemple. Il y a des moments où on n’est pas très loin de Tortoise… C’est une confirmation de la richesse et de la diversité de la nouvelle scène anglaise... Un excellent concert !
Ensuite, c’était, en exclusivité pour cet été, l’Electronic Set que Yann Thiersen a présenté aux dernières Transmusicales de Rennes. Gros show vidéo de Sam Wiehl sur deux écrans, un translucide en front de scène et un autre en fond de scène ! Et une musique ambient, atmosphérique, intimiste, qui, là aussi, plonge ses racines dans les 70’s puisque les textures de sons étaient vraiment celles des pionniers allemands tels que Kraftwerk, Tangerine Dream, Klaus Schulze… Pour notre part, on est bien rentrés dans le show.
Au Club, c’était Gystère. Et là aussi, une référence 70’s nous est apparue immédiatement aussi bien au niveau de la musique, que des costumes ou de la scénographie : C’est Martin Circus. La première période de Martin Circus, la bonne, celle avant qu’ils ne sombrent dans la mauvaise musique commerciale, celle de l’album ‘Acte II’ par exemple, avec ce coté à la fois pop, psyché, prog et festif. Même si chez Gystère, on trouve aussi des notes funk et hip-hop, on n’aurait pas été surpris du tout d’entendre une reprise de ‘Je m’éclate au Sénégal’….
Site web de Jazz à Vienne : https://www.jazzavienne.com/
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