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Ce mercredi 6 juillet, c’était vraiment la soirée ‘casse-gueule’ de la quinzaine à Jazz à Vienne ! Casse-gueule car assez peu en phase avec l’image du festival et avec son public habituel. Et casse gueule parce que Marc Rébillet, tête d’affiche de la soirée venait juste de passer au Radiant, le 25 juin …
Le pari a quand même été réussi puisque même si le théâtre n’affichait pas complet, il devait bien y avoir entre 3 et 4000 personnes. Peut-être plus …
On est tout de même resté dubitatif sur la prestation de Louis Cole… Par moment, on pense à Prince, à d’autres à Zappa, à d’autres à l’Ecole de Canterburry, tout ça mis au goût de la génération electro. Mais on a du mal à sentir la cohérence de tout ça. C’est brouillon, ça part dans tous les sens… Et c’était desservi par un son très confus : Voix noyées dans les basses, etc …
En revanche, on a vraiment été enthousiaste pour la prestation de Marc Rébillet. Le personnage est totalement hirsute et sa musique electro est totalement improvisée. On pense à l’electronica d’Aphex Twin par certaines textures de sons et des rythmes complexes, au big beat funky des Propellerheads, à la soul electro de Cut Chemist, au hip-hop chopped and screwed de DJ Screw lorsqu’il ralentit le pitch, aux Puppetmastaz lorsqu’il prend des voix de personnages sur des toasts hip-hop... Il chante, fait le show, emporte son public… Gros show !
Tom Ibarra était au Club de Minuit avec un jazz-rock très électrique et avec du ‘gros son’, devant un public dense.
Site web de Jazz à Vienne : https://www.jazzavienne.com/
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