Ce jeudi 16 octobre, le Sucre proposait un concert de Tangerine Dream dans le cadre d’un concert spécial Nuits Sonores.

La moyenne d’âge du public était évidemment supérieure à celle qu’on d’habitude au Sucre. Ce qui n’a rien d’étonnant puisque les grandes heures de Tangerine Dream remontent aux années 70 lorsque le groupe était un pionnier du pan le plus électronique du krautrock.

Bien sûr, après toutes ces années (le groupe a été fondé en 67….), ce ne sont plus les musiciens originaux. Mais Thorsten Quaeschning (claviers, séquenceur, directeur musical), Hoshiko Yamane (violon, violoncelle et instruments associés) et Paul Frick (claviers, séquenceur, piano etc.) perpétue totalement l’héritage avec une musique synthétique ‘planante’ faite pour l’écoute et non le dancefloor.

Le groupe a joué un premier set d’une heure et quart très calme et contemplatif et après une courte pause un second set d’une heure quinze avec des tempos plus marqués.

Une plongée dans l’époque des avant-gardes électroniques allemandes, mais sans nostalgie !

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