08:36

08:33

08:31

08:28

08:26

08:24

Benjamin Clementine était au Transbordeur ce mercredi 26 mars.
On se souvenait de ses superbes passages précédents à Lyon. Cette nouvelle venue dans la région était très différente.
L’accompagnement par 4 musiciens derrière de larges pupitres, qui étaient à la fois sur des instruments électriques et des machines, donnait un son beaucoup plus électro. Avec les atmosphères souvent mélancoliques, on avait parfois l’impression d’avoir affaire à un Nick Cave dont les Bad Seeds auraient troqué leurs instruments habituels pour des synthés et des boites à rythmes. Les lumières étaient assez faibles et toujours monochromes.
Mais ce concert aussi, à de nombreuses reprises, était assez troublant, à tel point qu’on s’est demandé, s’il était bien dans son état normal… Le début du concert a été très chaotique. On ne savait pas pourquoi il ne commençait pas, ni pourquoi après être monté sur scène, il en ressorti pour revenir et enfin commencer. Durant tout le concert, il marchait sans cesse de gauche à droite et de droite à gauche de la scène. Les interruptions entre les morceaux étaient longues, et à ces moments-là, il marmonnait longuement dans son micro. Il y a eu plusieurs passages où, sur la musique, il a répété les mêmes phrases très longtemps, vraiment très longtemps. Troublant, c’est bien le bon terme.
Lors du rappel, on a retrouvé un Benjamin Clementine plus habituel avec son style crooner mélancolique au piano.
Un concert pas banal, en tout cas !
Le texan Beaven Waller a ouvert avec une demi-heure de folk acoustique, seul au chant et avec une guitzre.
Site web d’Eldorado : https://www.eldorado.fr/
Site web du Transbordeur : https://www.transbordeur.fr/
0 commentaire
Soyez le premier à réagir !Laissez un commentaire via le formulaire ci-dessous !